Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol. Photo: TTXVN |
Cependant, une controverse émerge déjà: le président n’a pas encore fourni les documents requis par la Cour constitutionnelle, notamment le procès-verbal de la réunion du Cabinet concernant l’ordre de la loi martiale.
Face à cette situation, la Cour constitutionnelle s’est réunie pour envisager les mesures à prendre si le président persiste dans son refus de coopérer. Elle doit également se positionner sur l’absence de désignation d’un représentant légal par Yoon Suk Yeol.
Le procès en destitution devrait officiellement débuter à la mi-janvier 2025.