Le tir a eu lieu ce lundi, alors que la République de Corée, les États-Unis et le Japon mettaient en place un système de partage de données d'alerte antimissile en temps réel.
Le leader nord-coréen Kim Jong Un a assisté au lancement du missile, qui a décollé de l'est de la capitale Pyongyang. Le pays a affirmé que cette action constituait une réponse ferme à toutes les provocations menaçant sa sécurité.
La communauté internationale a vivement condamné le tir, le qualifiant de violation flagrante des résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU). Les États-Unis ont appelé à la convocation d'une réunion d'urgence du CSNU ce mardi pour discuter de la situation.