Il s’agit du dernier effort entre les parties, afin de conclure un accord qui touche majoritairement les import-export, l’énergie, la transportation, et la pêche.
A défaut, ce sont les règles de l’OMC, synonymes de droits de douane élevés, qui régiront à cette date les échanges entre les deux camps. Pour éviter ce scénario de rupture sèche potentiellement dévastateur pour les deux économies, Européens et Britanniques se sont mis d’accord pour intensifier les discussions ces derniers jours. La présidente de la Commission européenne, Urusla von der Leyen, a elle-même reconnu que les négociations étaient entrées « depuis une semaine » dans une « phase critique » et intensive.