Cette trêve, négociée par l’ONU, est un « moment d’espoir », a déclaré le diplomate suédois Hans Grundberg, jugeant qu’elle était encore largement respectée, malgré son expiration en octobre. Soulignant qu’« il existe encore des risques importants », il a appelé à protéger les acquis de la trêve ainsi qu’à les développer afin d’obtenir davantage d’aide humanitaire, un cessez-le-feu à l’échelle nationale et un règlement politique durable qui puisse répondre aux aspirations des femmes et des hommes yéménites.