Réunis vendredi à  à Tunis, les ministres des Affaires Etrangères de Tunisie, d'Egypte et de Libye ont réaffirmé que "le règlement de la situation en Syrie doit se situer dans un cadre arabe, en dehors de toute intervention militaire étrangère". Le chef de la diplomatie égyptienne a mis l'accent sur "la situation dramatique que vit le peuple syrien et l'impératif de lui faire parvenir des aides humanitaires par des mécanismes arabes ou onusiens".

Par ailleurs, Damas salue la décision de l'émissaire de l'Onu et de la Ligue arabe d’envoyer prochainement des experts techniques en Syrie afin de discuter de la possibilité d’y dépêcher un groupe d’observateurs internationaux. Ce groupe aurait pour but de veiller à mettre fin aux violences dans ce pays.