« Aujourd’hui aurait dû être le jour où le Brexit était réalisé et où nous aurions enfin quitté l’Union Européenne », a relevé Boris Johnson avant de visiter une école, un hôpital et un poste de police, premiers engagements de sa campagne électorale avant les législatives anticipées du 12 décembre.
Arrivé au pouvoir en juillet en promettant que la sortie aurait lieu « coûte que coûte » le 31 octobre, il avait juré qu'il préférait être « mort au fond d'un fossé » plutôt que demander un nouvel ajournement. Son accord négocié avec Bruxelles n'ayant pas passé l'épreuve du Parlement, il a pourtant dû demander aux Européens un report d'ici au 31 janvier.