A ce titre, les 15 membres du Conseil apportent leur plein soutien au plan d'action de l'envoyé spécial de l'ONU, Ghassan Salamé, qui espère l'organisation d'élections législatives et présidentielles "avant ou en juillet (2018)". Selon son plan d'action, une nouvelle Constitution doit être soumise à référendum et ouvrir la voie à des élections.
Le Conseil de sécurité reste "préoccupé par la détérioration de la sécurité et de la situation économique et humanitaire en Libye", ajoute sa déclaration. Il attend la concrétisation de l'engagement des Nations unies à pouvoir "intensifier le travail de l'ONU sur le terrain afin d'améliorer les conditions de vie pour tous ceux qui vivent en Libye, incluant les migrants".