Le porte-parole du département d’État américain, Ned Price. Photo: AFP/TTXVN |
Le chef de la diplomatie iranienne, Hossein Amir Abdollahian, a précisé que les Américains avaient fait preuve de souplesse oralement sur deux des trois questions en suspens, mais que l’Iran voulait des garanties que Washington ne quittera pas de nouveau - comme il l’a fait en mai 2018 - l’accord nucléaire de juillet 2015. En clair, cela signifie que rien n’est encore définitif. D’autant plus que le porte-parole du département d’État américain, Ned Price, a réagi en affirmant que Téhéran devait renoncer à ses demandes «superflues».
De son côté, l’Union européenne étudie la réponse de l’Iran au texte final pour sauver l’accord de 2015 sur le dossier nucléaire iranien, en consultation avec ses partenaires, a annoncé, mardi, une porte-parole de la Commission européenne.