Les malfaiteurs sont arrivés
le 19 février à la nuit tombée le but d'enlever des élèves via leur convoi
motorisé, selon les témoignages des habitants. Les autorités avaient mis
beaucoup de temps à réagir et avaient annoncé dans la semaine que
"certaines" de ces adolescentes avaient été retrouvées par l'armée,
avant de se rétracter, provoquant la colère des parents des victimes.