Le secrétaire américain à la Défense, Mark Esper (photo Reuters)
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Il a ajouté que les intérêts régionaux pesaient également sur la sécurité nationale de son pays et qu’il faudrait agir vite sur le changement brusque de l’environnement militaire et sécuritaire du monde entier. Le chef du Pentagone a également démenti l’information publiée la semaine dernière par le Wall Street Journal, selon laquelle son ministère avait présenté, en mars, à la Maison Blanche, un plan de réduction des quelques 28.500 soldats actuellement stationnés dans le sud de la péninsule. Il a affirmé ne pas avoir ordonné leur retrait de la République de Corée.