Des soldats maliens lors d'une patrouille dans la capitale Bamako. Photo d'archive: AFP/TTXVN |
Dans un communiqué diffusé par la télévision publique, le gouvernement malien assure que toutes les mesures seront prises pour arrêter et punir les auteurs de cet acte ignoble et tragique. Le président de la Transition, le colonel Assimi Goïta, a décrété un deuil national de trois jours à compter de dimanche. L'attaque n'a été revendiquée par aucun des nombreux groupes armés qui sévissent dans le pays.
Cette nouvelle attaque survient un jour seulement après que des insurgés ont attaqué un convoi de l’ONU dans le nord du pays, tuant un travailleur contractuel civil et en blessant un autre.