Cette mesure du département de la Sécurité intérieure menace directement 7000 étudiants - un quart des effectifs de l'établissement - de perdre leur statut légal aux États-Unis.
Harvard a demandé une ordonnance de restriction temporaire pour bloquer immédiatement cette décision, tout en estimant que cette décision de l'administration Trump violait la Constitution américaine et d'autres lois fédérales et avait un impact sérieux sur cet établissement de 389 ans.
Le 22 mai, la secrétaire à la Sécurité intérieure (DHS), Kristi Noem, avait ordonné la suspension du programme d'étudiants et de visiteurs d'échange (SEVP) de l'Université de Harvard.