La responsable européenne a précisé que cette aide concernait notamment les secteurs de l'énergie, de l'éducation, de la santé et de l'agriculture.
Après quatorze années de conflit ayant dévasté son économie, la Syrie est engagée dans une transition délicate pour se rétablir. Les besoins en infrastructures sont estimés à environ 500 milliards de dollars. Lors d’une réunion du cabinet gouvernemental le 31 mai, le président syrien par intérim, Ahmad Al Shara, a déclaré que le nouveau gouvernement entendait attirer des investissements dans des secteurs stratégiques tels que les aéroports, l’énergie, le tourisme, le pétrole, les ressources minérales, les zones commerciales franches, les ports maritimes, les chemins de fer, l’immobilier et les transports.