"Nous nous sommes accordés autour du chiffre d'un million de
barils que nous avions proposé", a affirmé le ministre Khaled al-Faleh.
"Je pense que cela va contribuer de façon significative à répondre à la
demande supplémentaire que nous prévoyons au second semestre", a-t-il
ajouté. L'Arabie saoudite, soutenue par la Russie et les Etats-Unis, plaidait
pour une telle augmentation dans un contexte de hausse des prix et de tensions
potentielles sur le marché pétrolier.