Le nouvel émissaire de l'ONU pour la Libye, Ghassan Salamé, à gauche, lors d’une conférence de presse aux côtés du Premier ministre du gouvernement libyen de l’accord national (GNA) Fayej Seraj, et du ministre des Affaires étrangères Taher Siala à Tripoli |
Autour de la table, se trouvaient une dizaine de dirigeants des pays impliqués directement ou indirectement dans le casse-tête libyen, un pays totalement fragmenté et en proie au chaos depuis la chute du colonel Kadhafi en 2011. Une nouvelle Constitution devrait être soumise à référendum d'ici un an et ouvrirait la voie à des élections générales dans le pays. Jusqu'à présent, la plupart des pays ont joué cavalier seul et multiplié chacun les initiatives en Libye, mettant à mal la crédibilité onusienne.