La résolution avait été approuvée l’an dernier par 191 pays, seuls les États-Unis
et Israël se prononçant contre.
En 2016, Washington s’était abstenu pour la
première fois en un quart de siècle, après le rapprochement historique opéré
par l’ex-président démocrate Barack Obama avec La Havane.
Alors que les États-Unis tentent de convaincre
d’autres pays de se joindre à eux pour dénoncer les atteintes aux droits de l’homme
à Cuba, de nombreux ambassadeurs ont multiplié mercredi à la tribune de l’ONU
les appels à une levée de l’embargo américain, en place depuis 1962.