Photo d'illustration
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Téhéran a fait monter la pression sur le dossier du nucléaire en informant l'Agence internationale de l'énergie atomique de son intention de produire de l'uranium enrichi à 20%, un niveau bien supérieur au seuil fixé par l'accord de Vienne de 2015, dont l'objectif était d'empêcher toute utilisation à des fins militaires.
D'après le dernier rapport disponible de l'agence onusienne, publié en novembre, Téhéran enrichissait de l'uranium à un degré de pureté supérieur à la limite prévue par l'accord de Vienne (3,67%) mais ne dépassait pas le seuil de 4,5%, et se pliait toujours au régime très strict d'inspections de l'Agence.