Le président iranien Hassan Rouhani - Photo AFP/TTXVN
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L'agence
onusienne atteste notamment que la République islamique d'Iran n'a pas enrichi
d'uranium à des degrés prohibés ni constitué de stocks illégaux d'uranium faiblement
enrichi ou d'eau lourde. Ce résultat, attendu, permet la poursuite de la mise
en oeuvre de l'accord, entré en vigueur en janvier 2016 et qui a donné le coup
d'envoi à une levée des sanctions internationales frappant cette puissance
pétrolière et gazière, notamment dans le domaine énergétique.
Le président
américain, qui avait durant sa campagne promis de «déchirer» l'accord et qui
doit «certifier» en octobre devant le Congrès le respect de celui-ci par
l'Iran, avait indiqué fin juillet qu'il serait «surpris» que tel soit le cas.