De tels agissements constituent une ingérence dans les affaires intérieures de la Syrie, ainsi qu'une violation flagrante de sa souveraineté et de son intégrité territoriale. Cela risque en outre de déstabiliser la région en créant davantage d'insécurité, a indiqué M. Moussavi.
Le 7 août, la Turquie et les États-Unis sont convenus de mettre en place un Centre d'opérations conjoint, qui leur permettra de gérer de manière coordonnée la zone de sécurité qui doit être créée dans le nord de la Syrie.