«Il est certain que l’AIEA ne doit pas s’attendre à ce que la République islamique d’Iran poursuive sa coopération large et amicale», a déclaré Behrouz Kamalvandi, porte-parole de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique, interrogé à la télévision d’État sur la réponse de l’Iran à l’éventuelle adoption d’une résolution défavorable.
Lors de cette réunion, l’AIEA doit examiner et adopter un projet de résolution accusant l’Iran de manquements à ses obligations en matière de non-prolifération nucléaire. Le texte aurait été présenté conjointement par les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne.
Dans un message publié le 7 juin sur le réseau social X, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a vivement critiqué cette initiative des trois pays européens, la qualifiant d’acte hostile à l’égard de l’Iran.