"Prendre une décision unilatérale affectant l'unité de l'Irak et sa sécurité ainsi que la sécurité de la région avec un référendum de séparation est contre la Constitution et la paix civile", a-t-il déclaré lors d'un "discours à la Nation" retransmis sur les télévisions.
Promettant de ne "pas abandonner les citoyens kurdes", M. Abadi a souligné que son gouvernement avait rejeté "l'Etat confessionnel", en faisant référence aux tentatives du groupe jihadiste Etat islamique (EI) d'établir un califat en Irak.
"Nous rejetons l'Etat raciste", a-t-il ajouté dans une allusion aux tentatives de séparation du Kurdistan.