«Malgré nos efforts continus, aucun progrès n’a été fait pour forger un consensus vers un cadre constitutionnel pour des élections», a-t-elle déclaré.
«Cette impasse représente une menace grandissante pour la sécurité dans et autour de Tripoli, et potentiellement pour tous les Libyens», a-t-elle ajouté, menace qui s’est matérialisée il y a quelques jours.
La semaine dernière, des tirs nourris et des bombardements ont retenti sans répit dans plusieurs quartiers de la capitale. Les deux Premiers ministres rivaux - Abdelhamid Dbeibah et Fathi Bachagha - se sont rejeté la responsabilité de ces combats qui ont fait 32 morts.