Le président libanais Michel Aoun. Photo: AFP/TTXVN
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Quelques heures plus tôt, le chef du puissant Hezbollah pro-iranien Hassan Nasrallah, allié de Michel Aoun, avait annoncé être prêt à discuter d'un nouveau "pacte politique" dans le pays, où les communautés religieuses se répartissent le pouvoir.
Ces annonces sont intervenues à la veille de la désignation d'un nouveau Premier ministre, qui devrait être un ambassadeur, Moustapha Adib, choisi par les poids lourds de la communauté sunnite. Une démarche qui vient illustrer le mode de fonctionnement du système confessionnel, le poste de Premier ministre étant réservé à la communauté musulmane sunnite.