Après une tentative de sécession en 2017, l'ex-chef du gouvernement autonome avait fui en Belgique pour échapper aux poursuites.
Carles Puigdemont avait été visé par un premier mandat d'arrêt international après son départ d'Espagne. Ce mandat avait finalement été levé en juillet 2018, après que la justice allemande, qui avait arrêté Carles Puigdemont, avait refusé de l'extrader pour rébellion. Malgré la possibilité d'une extradition pour malversation, la justice espagnole avait refusé cette option. Le nouveau mandat lancé lundi porte sur des accusations de "sédition et détournements de fonds publics".