Photo d'illustration
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L’éditorialiste saoudien, exilé aux États-Unis, avait été tué le 25 octobre 2018 par des agents envoyés par Ryad. Le consulat disposait de deux puits et d’une chaudière à gaz et à bois où la température peut dépasser 1000 degrés, ce qui permet de faire disparaître toute trace d’ADN, selon Anatolie.
Après de multiples déclarations contradictoires, Ryad a reconnu que le journaliste, qui s’était exilé aux États-Unis, avait été tué et démembré par des agents saoudiens. Fahrettin Altun, directeur de la communication à la présidence turque, a déploré récemment le manque total de transparence des autorités saoudiennes dans l’enquête sur cet assassinat.