« Nous n'avons toujours pas de réponses définitives sur l'origine
ou la cause des attaques » et l'enquête est encore en
cours, reconnaît le département d'Etat. Washington avait rappelé fin septembre
plus de la moitié du personnel de son ambassade à La Havane, qui tourne depuis
avec un nombre très réduit d'employés. Les familles des diplomates restés sur
place avaient aussi dû quitter l'île des Caraïbes. Mais cette décision
administrative ne pouvait être que temporaire et expire dimanche, a déclaré
vendredi le département d'Etat américain dans un communiqué.