Le président américain Joe Biden. Photo: AP |
Le même jour, le représentant spécial des États-Unis pour la RPDC a proposé de rencontrer des représentants de Pyongyang «n’importe où, n’importe quand, sans conditions préalables». L’offre de Sung Kim intervient trois jours après une déclaration du dirigeant nord-coréen, Kim Jong-un, qui a estimé que son pays devait se préparer autant «au dialogue qu’à la confrontation» avec les États-Unis.
La République de Corée et les États-Unis se sont mis d’accord pour envisager de mettre fin au «groupe de travail» sur la politique nord-coréenne, a annoncé ce mardi le ministère des Affaires étrangères, dans ce qui semble être un geste conciliant envers Pyongyang qui le considère comme un obstacle aux relations intercoréennes.
Kim Yo-jong, soeur du numéro un nord-coréen Kim Jong-un et cadre du parti au pouvoir, a écarté la possibilité de reprendre les négociations avec les États-Unis. Dans un communiqué, elle a déclaré que les États-Unis interprétaient la situation d’une manière à chercher du réconfort pour eux-mêmes et que cette attente pourrait les plonger dans une déception encore plus grande.