En dépit de ces déclarations, le secrétaire d’Etat américain, Rex Tillerson, a assuré que les Etats-Unis avaient «toujours espoir dans la diplomatie» pour résoudre la crise avec la République populaire démocratique de Corée. «L’impression générale» est que la pression exercée par les sanctions déjà en vigueur «a un impact significatif sur Pyongyang», a-t-il affirmé à la presse. Il a souhaité que la «période de calme» en cours - aucun tir de missile ni essai nucléaire nord-coréen depuis le 15 septembre - «continue».