«Ce refus empêche les États-Unis d'exercer des droits importants en vertu du traité et menace la viabilité du contrôle américano-russe des armes nucléaires», a indiqué le porte-parole.
«La Russie n'a pas non plus respecté l'obligation du nouveau traité START de convoquer une session de la Commission consultative bilatérale conformément au calendrier prévu par le traité», a-t-il ajouté en soulignant que la Russie peut toujours revenir à une conformité totale.
Toujours ce mardi, le vice-président du Conseil de la Fédération de la Russie Konstantin Kosachev a quant à lui déclaré que Washington était le premier parti à violer ce nouveau traité START. Il a reproché aux États-Unis de "tenter de créer de telles conditions pour pouvoir exercer unilatéralement le droit d'inspecter la Russie", ce qui va à l'encontre de New START, car le mécanisme de contrôle prévu par le traité est parfaitement équilibré.