 |
| Photo: VOV |
Ce transfert s’inscrit dans le cadre d’un projet de coopération technique financé par l’aide publique au développement non remboursable des États-Unis. En deux ans, les résultats sont spectaculaires: le taux d’extraction réussie d’ADN sur les échantillons osseux est passé de 22 à 70%.
Les nouvelles techniques permettent désormais d’identifier des liens génétiques jusqu’à la cinquième génération - une avancée inédite. Ces efforts humanitaires illustrent la volonté commune des deux pays de tourner la page de l’histoire, tout en respectant la mémoire des victimes.