Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a appelé à la fin immédiate des opérations militaires dans la bande de Gaza et à la libération de tous les détenus. Il a également souligné que le conflit provoquait un désastre humanitaire, tout en exhortant la communauté internationale et le Conseil de sécurité des Nations Unies à prendre des mesures supplémentaires, conformément au droit humanitaire international.
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a également appelé à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, sans aucune condition ni restriction. Il a souligné que les actes de meurtre et de siège étaient «inacceptables».
Le président palestinien Mahmoud Abbas a quant à lui affirmé que les mesures militaires ne pouvaient résoudre le conflit et a exprimé son opposition au déplacement forcé des Palestiniens dans la bande de Gaza ou en Cisjordanie.
De son côté, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a appelé à l’organisation d’une conférence internationale de paix pour trouver une solution durable au conflit entre Israël et le Hamas.
C’était la première fois en l’espace de 11 ans qu’un président iranien se rendait à Riyad. Selon Ebrahim Raisi, le conflit Hamas-Israël pourrait s'étendre à toute la région.