La Première ministre Theresa May - Photo AFP/TTXVN
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La Chambre des communes a recalé le texte par 432 voix contre 202, la plus lourde défaite essuyée par un dirigeant britannique depuis les années 1920, et qui plonge encore un peu plus le pays dans la confusion.
Le rejet de cet accord est tout sauf une surprise, tant était forte l'opposition au «Traité de retrait» de l'UE, âprement négocié pendant 17 mois avec Bruxelles, mais qui n'a convaincu ni les Brexiters, ni les europhiles.
Theresa May a désormais jusqu'à lundi pour présenter un «plan B» - si elle survit à la motion de censure travailliste, qui sera votée mercredi.