Téhéran après les explosions provoquées par une attaque israélienne dans la nuit du 26 octobre 2024. Photo : THX/TTXVN.

Dans une déclaration officielle, le ministère égyptien des Affaires étrangères a réaffirmé son opposition à toutes les actions menaçant la stabilité du Moyen-Orient, précisant que de telles mesures aggravent les conflits existants et augmentent les tensions. L'Égypte, qui veut jouer un rôle de médiateur dans la situation à Gaza, a insisté sur l'importance de libérer les prisonniers et les otages comme moyen de réduire les tensions.

Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a également eu un échange téléphonique avec Antony Blinken, son homologue américain. Au cours de cette conversation, Abdelatty a appelé Israël à cesser ses violations du droit humanitaire international et à faciliter les efforts d'aide humanitaire.

De son côté, le gouvernement turc a condamné les frappes israéliennes contre l'Iran, accusant Israël de provoquer une escalade vers un conflit de plus grande envergure. La Tunisie a également exprimé ses préoccupations, mettant en garde contre les conséquences des attaques israéliennes en Iran.