Ces retards témoignent de discussions toujours ardues entre la Russie, le Koweit et la Suède, les deux co-signataires d'un projet de résolution déjà déposé à de multiples reprises. La France a joué les intermédiaires, a-t-on précisé de source diplomatique.
Depuis 5 jours, 400.000 civils sont coincés sous les feux du régime syrien en Ghoutta orientale. Des ONG, organisations internationales et gouvernements se sont dits horrifiés par l'ampleur de ce pilonnage.