Pham Minh Chinh prend la parole lors de la session. Photo: VOV |
Dans son allocution, le chef du gouvernement a affirmé que la sécurité et la lutte contre la cybercriminalité constituaient «la colonne vertébrale» de la transformation numérique nationale.
«Le cyberespace est un bien commun, inviolable, qui doit être protégé et gouverné selon les principes de respect de la souveraineté numérique, d’équité, de coopération et de responsabilité. La portée de la Convention de Hanoï ne réside pas seulement dans l’établissement de normes communes en matière de sécurité du cyberespace, mais aussi dans la création d’un mécanisme de coordination internationale visant à partager l’information, à fournir une assistance technique et à renforcer les capacités des pays disposant de ressources limitées. Ce cadre permettra de réduire les écarts de compétences numériques et de prévenir les inégalités et injustices technologiques à l’ère du numérique», a-t-il souligné.
Les représentants des pays participants ont salué cette initiative, soulignant que la cybercriminalité constituait un défi planétaire nécessitant une action concertée. Ils ont vu dans la Convention de Hanoï un instrument essentiel pour renforcer les capacités nationales, former des experts, encourager la coopération public-privé et harmoniser les politiques avec les standards internationaux.