Les discussions, interrompues au début de l'été, butent notamment sur la volonté de la Suisse de protéger son marché du travail ainsi que les salaires et les conditions de travail des travailleurs dans le pays.
Il existe déjà environ 120 accords bilatéraux qui régissent les relations entre Berne et Bruxelles et qui resteront en vigueur même en cas d'échec des discussions, mais l'UE souhaiterait conclure un accord-cadre afin de mieux résoudre les contentieux et faciliter l'adaptation de la Suisse à l'évolution des règles du marché unique.