Le président palestinien Mahmoud Abbas |
"Il n'y aura ni paix ni sécurité tant que (le statut de Jérusalem) perdurera", a-t-il réagi dans un communiqué publié par l'agence de presse palestinienne WAFA, avant de rappeler que cette nouvelle loi "ne changera pas la situation historique de Jérusalem en tant que capitale de l'État de Palestine occupé". Elle "ne découragera pas le peuple palestinien de sa lutte légitime contre l'occupation israélienne et sa volonté d'établir un pays indépendant". Même son de cloche du côté de la Turquie qui a qualifié jeudi de "raciste" la loi votée par le Parlement d'Israël et accusé le gouvernement israélien de chercher à mettre en place un "État d'apartheid".