Photo : iz.ru
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Le pays semble proche de sombrer dans le chaos et Sooronbaï Jeenbekov n’est pas apparu en public depuis lundi, mais son bureau a assuré jeudi qu’une démission «n’est pas à l’ordre du jour», précisant mener des négociations avec différents groupes politiques.
Les puissants services de sécurité (GKNB) ont eux intimé à la classe politique de remettre de l’ordre, alors que différentes factions revendiquent le contrôle de diverses institutions.
«Les forces de l’ordre, les services spéciaux, les forces armées de la République du Kirghizstan demandent à toutes les forces politiques […] de s’asseoir à la table des négociations et de ramener le pays dans la légalité», a dit un porte-parole du GKNB, cité par l’agence de presse russe Ria Novosti.