Dans une déclaration, les pays de l'AES ont précisé que la décision de la CEDEAO était unilatérale, tout en soulignant que leur intention de quitter l'organisation est «irréversible». Le retrait officiel est prévu pour le 29 janvier 2025. La CEDEAO n'a pas réussi à convaincre ces pays de reconsidérer leur décision. En réponse, le Mali, le Niger et le Burkina Faso ont formé l'AES pour renforcer leur coopération en matière de défense et de sécurité. Ce retrait pourrait avoir de lourdes conséquences pour l’économie et la politique de la région, en impactant notamment la libre circulation des personnes et des biens.