Immeubles détruits à Gaza, vus depuis le côté israélien de la frontière, le 3 octobre 2025. Photo: REUTERS/Amir Cohen |
Fait notable, le Hamas pourrait avoir accepté l’une des clauses clés du plan, son désarmement.
Hamas a indiqué pouvoir engager rapidement des discussions avec les médiateurs (les États-Unis, le Qatar et l’Égypte) sur les modalités de l’initiative. Le groupe a toutefois prévenu qu’il pourrait ne pas être en mesure de restituer les 48 otages dans les 72 heures, prévues par l’accord.
Dans son communiqué, le mouvement a également proposé de transférer la gestion de la bande de Gaza à une autorité palestinienne composée de technocrates, incluant certains de ses membres, et a exprimé le souhait de participer au dialogue national sur l’avenir du territoire. Mais le texte ne mentionne pas explicitement la question du désarmement.
Washington et Doha ont confirmé avoir reçu la réponse du Hamas. Le gouvernement israélien n’a pas encore réagi.