En dépit de la revendication des attentats par le groupe État islamique, les autorités sri-lankaises attribuent ce bain de sang au mouvement islamiste local National Thowheeth Jama’ath (NTJ), qui ne l’a pourtant pas revendiqué. Au moins 45 enfants et adolescents, dont un bébé de 18 mois, ont été tués. Ce chiffre pourrait encore augmenter, a précisé l’UNICEF.