Cette décision constitue une éventuelle première étape vers une politique commune établissant des règles de protection de la vie privée en matière d'IA. Elle fait suite à une mesure unilatérale prise par l'Italie le mois dernier pour limiter ChatGPT - une position qui, selon le commissaire allemand à la protection des données, pourrait être suivie par la plus grande économie d'Europe.