« Il est très important de connaître la vérité et il est très important que les responsabilités soient clarifiées », a-t-il déclaré à la presse, estimant que cette tâche ne pouvait être confiée qu'à une « entité indépendante ».
Le porte-parole de l'Onu, Stéphane Dujarric, a déclaré que Guterres et son cabinet avaient été en contact avec de nombreux pays concernés, tout en insistant sur la nécessité d'éviter toute escalade.
Guterres s'est dit prêt à entreprendre une médiation même si, a-t-il reconnu, il n'entrevoyait pas dans l'immédiat la possibilité d'un dialogue.