Le gouvernement conservateur de Theresa May avait précédemment indiqué qu'il laisserait le Parlement voter l'accord de divorce. En cas de rejet, la seule option restante serait une sortie sans accord, une perspective qui inquiète en particulier les entreprises britanniques. Avant même son adoption, un porte-parole du Premier ministre britannique avait prévenu que l'amendement risquait «d'affaiblir la main du Royaume-Uni dans les négociations sur le Brexit». Le texte doit toutefois revenir dans les prochaines semaines devant les députés, qui l'avaient adopté en janvier et qui pourraient donc supprimer cet amendement.