Jean-François Ricard, procureur antiterroriste, samedi 5 octobre. GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP |
Alors que la piste de la radicalisation n’était pas privilégiée les heures suivant l’attaque, le Parquet national antiterroriste (PNAT) s’est finalement saisi de l’enquête ouverte sous les qualifications d’« assassinat et tentative d’assassinat sur personne dépositaire de l’autorité publique en relation avec une entreprise terroriste », ainsi que pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle ».