L'armée nord-coréenne a le "feu vert" pour des frappes nucléaires

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(VOVworld) - L'armée nord-coréenne a reçu l'approbation finale pour déclencher des opérations militaires contre les Etats-Unis, y compris d'éventuelles frappes nucléaires. L'état-major général de l'armée a déclaré officiellement Washington que les menaces américaines seraient «écrasées» par des « moyens de frappe nucléaire ». « L'opération impitoyable » des forces nord-coréennes « a été définitivement examinée et ratifiée » et « le moment de l'explosion approche », a ajouté Pyongyang, qui assure qu'une guerre pourrait survenir dans la péninsule coréenne dès « aujourd'hui ou demain ».

(VOVworld) - L'armée nord-coréenne a reçu l'approbation finale pour déclencher des opérations militaires contre les Etats-Unis, y compris d'éventuelles frappes nucléaires. L'état-major général de l'armée a déclaré officiellement Washington que les menaces américaines seraient «écrasées» par des « moyens de frappe nucléaire ». « L'opération impitoyable » des forces nord-coréennes « a été définitivement examinée et ratifiée » et « le moment de l'explosion approche », a ajouté Pyongyang, qui assure qu'une guerre pourrait survenir dans la péninsule coréenne dès « aujourd'hui ou demain ».

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Des militaires américains présentent leurs combinaisons de protection contre les menaces nucléaires, bactériologiques et chimiques, à Camp Stanley à Uijeongbu, au nord de Séoul, le 4 avril 2013. | AP/Lee Jin-man


Peu avant ces déclarations tonitruantes, le Pentagone a annoncé que les États-Unis allaient déployer un système de missiles anti-balistiques THAAD sur l'île de Guam, dans le Pacifique, pour parer à toute éventualité. Le système THAAD est conçu pour intercepter les missiles balistiques de moyenne portée. Il comprend un lanceur de missiles mobiles, des missiles intercepteurs, un radar et un système de mise à feu intégré.

De son côté, la République Populaire Démocratique de Corée a menacé ce jeudi de retirer ses 53 mille travailleurs de Keasong et de fermer cette zone industrielle conjointe. C’est en tout cas ce qu’a rapporté l’agence de presse officielle nord coréenne KCNA citant le porte-parole du Comité nord-coréen pour la paix et l’unification. Cette décision vise à risposter à l’annonce mercredi du ministère sud-coréen de la Défense selon laquelle celui-ci dispose d’un plan d’urgence qui prévoit un possible recours à la force, pour garantir la sécurité de ses citoyens travaillant dans le complexe industriel de Kaesong. Le comité nord-coréen pour la paix et l’unification a aussi ajouté que le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un avait averti que n’importe quelle action militaire visant Keasong provoquerait une auto-destruction de la force « ennemie » et ce parc industriel allait s’effondrer entièrement. Ce mercredi, Pyongyang a interdit aux travailleurs sud-coréens d'entrer dans cette zone industrielle conjointe, autorisant seulement les travailleurs à quitter Kaesong pour rentrer à Séoul. Le gouvernement sud-coréen avait fait part de ses regrets face à cette interdiction, exhortant un retour à la normale immédiat des opérations du complexe.

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