Mais Téhéran continue de se soumettre volontairement au programme d’inspection particulièrement draconien de l’Agence internationale pour l’énergie atomique (AIEA), mis en place après l’accord conclu avec Pékin, Washington, Paris, Londres, Moscou et Berlin. À Vienne, l’AIEA a confirmé ce mardi être au courant de l’annonce iranienne et souligné que ses inspecteurs continuent de mener des activités de surveillance en Iran.