Photo d'illustration
|
C’est ce qu’a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères Alexander Grushko, au journal Kommersant, en ajoutant que la Russie prendrait sa décision en tenant compte de ses intérêts nationaux. Jusqu’à présent, Washington n’avait fait «aucune déclaration officielle» sur ce document que Moscou considérait comme «un instrument important de garantie de la sécurité européenne».