Des photos prises lors du sommet intercoréen de 2018 sont exposées à l'Observatoire de l'unification d'Odusan à Paju, en République de Corée. Photo : AP/ Ahn Young-joon
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A une condition: que le respect mutuel entre les deux pays soit garanti, a rapporté dimanche 26 septembre l'agence de presse KCNA, citant les propos de Kim Yo-jong, soeur du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un.
La veille, Pyongyang a demandé aux États-Unis et à la République de Corée de mettre un terme à leurs politiques hostiles avant d’engager des discussions officielles sur un traité de paix pour la guerre de Corée de 1950-1953.
Le 26 septembre, le ministère sud-coréen de l’Unification a qualifié de significatifs les propos de la sœur du dirigeant nord-coréen sur la possibilité d’organiser des discussions constructives sur les relations intercoréennes. Pour Séoul, l’important est de maintenir des liaisons fluides et stables entre les deux Corées et de rétablir rapidement les lignes de communication.
La semaine dernière, devant l'Assemblée générale des Nations unies, le président sud-coréen Moon Jae-in a renouvelé son appel en faveur d'une fin officielle de la guerre intercoréenne tout en soulignant que le temps pourrait venir à manquer, son mandat prenant fin en mai.