Emmanuel Macron a souligné que la clause de "défense commune" complétait les engagements de l’OTAN et de l’Union européenne, évoquant notamment la possibilité d’utiliser l’arsenal nucléaire français pour renforcer la sécurité européenne. De son côté, Donald Tusk a qualifié cette signature d’événement historique, affirmant la confiance mutuelle entre Paris et Varsovie.
Ce partenariat s’inscrit dans un contexte où l’Union européenne cherche à renforcer sa sécurité face à une éventuelle réduction de la présence militaire américaine dans la région.